Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, a reçu, jeudi, à Alger, la chef de la mission du Fonds monétaire international (FMI) en Algérie, Genevière Verdier, avec qui il a passé en revue les réformes économiques récemment engagées en Algérie, indique un communiqué de presse libération du ministère.
La rencontre entre la ministre et Mme Verdier et la délégation qui l’accompagne, précise le communiqué, a porté sur « les réformes économiques que l’Algérie a récemment engagées dans le cadre de sa stratégie de développement économique solide et diversifié, fondée sur la promotion du produit. « .
Zeghdar a souligné, dans ce contexte, « les réformes qui ont affecté l’arsenal juridique lié aux investissements, qui se traduisent par la stabilité et les garanties offertes pour renforcer la confiance des investisseurs, les avantages et incitations aux investissements locaux et étrangers, ainsi que la des mécanismes de soutien et d’accompagnement des investisseurs, qui contribueront à l’amélioration du climat des affaires en Algérie », ajoute la même source.
Le ministre a également rappelé les secteurs industriels stratégiques que l’Algérie s’emploie à développer, menés par l’agro-alimentaire, les industries mécaniques, électroniques et électriques, le textile et les industries chimiques et pharmaceutiques.
Il a également présenté un point sur la performance du secteur public industriel qui, selon lui, « rencontre une nouvelle dynamique après la pandémie de Covid-19 et ses répercussions économiques négatives, et en raison des mesures prises pour corriger les dysfonctionnements constatés dans le gestion des entreprises publiques afin d’assurer une bonne gouvernance et une efficacité optimale de ces entreprises ».
La rencontre a également été l’occasion « de faire le point sur la stratégie nationale de protection des produits et des consommateurs, à travers une infrastructure qualité constituée du cadre légal et réglementaire, et des instances créées à cet effet ».
Pour sa part, la représentante du FMI s’est félicitée des réformes et des mesures prises qui « sont susceptibles d’améliorer le climat des affaires et l’écosystème des affaires en Algérie et de capter les investissements directs étrangers (IDE) ». (APS)