Le court métrage palestinien « Sokrania 59 », projeté vendredi à la Cinémathèque d’Annaba dans la catégorie des courts métrages en compétition prévue au 4ème Festival du Film Méditerranéen d’Annaba, a suscité beaucoup d’enthousiasme parmi le nombreux public. pour assister à la séance de projection.
Le court métrage d’AbdAllah El Khatib raconte avec une grande humanité la coexistence entre deux familles de réfugiés de nationalités différentes qui n’ont de point commun que « l’amertume de l’asile » fuyant la guerre.
L’histoire du film, qui se déroule dans une ville allemande, montre « subtilement » comment les moments de crise peuvent unir les gens malgré leurs différences.
Le court métrage de 21 minutes plonge le public dans une atmosphère de sérénité, malgré l’atrocité de la guerre et les souffrances endurées à l’asile par les deux familles.
À son tour, la projection du court métrage espagnol « Le cinéma est une chose merveilleuse » de David Fernández a réussi à captiver l’attention du public grâce aux séquences expressives et très mouvementées contenues dans le film.
Le court métrage de 13 minutes montre le voyage fantastique d’un père et de ses deux enfants et les aventures qu’ils ont vécues avant d’atteindre leur destination.
Anis Djaad Le court métrage algérien « La Nuit d’Abed », qui se déroule dans un village algérien, a emmené le public pendant 12 minutes dans le voyage énigmatique d’un couple attendant un enfant.
La 4ème édition du Festival du Film Méditerranéen d’Annaba propose 18 courts métrages en compétition offrant au public des performances aussi riches que variées, inspirées de problématiques humaines et sociales.