69% par rapport à 2021), il est certain que le Maroc n’aura d’autre choix que de compenser les pertes sur le marché international », alors que le marché est troublé par les conséquences de la crise en Ukraine, pays qui a fourni 26% de la Les besoins du Royaume avant la crise, lit-on sur le site d’un média marocain.
« En cette année de disette, accentuée par le conflit ukrainien, nous sommes en position légitime de nous interroger sur la sécurité alimentaire de notre pays, compte tenu d’une denrée précieuse pour les Marocains, le blé (sous toutes ses formes), » a écrit un autre média spécialisé, constatant en même temps que les prix de cette matière première ne cessent d’augmenter et qu’ils sont hors de portée du Royaume, qui est aussi appelé. à dépenser des sommes importantes pour subvenir, entre autres, à leurs besoins énergétiques.
A ce niveau, l’équation est difficile à résoudre avec l’encours de la dette extérieure qui ne cesse de s’alourdir, s’établissant à 388,1 millions de milliards de dirhams selon les chiffres du Trésor du Maroc (environ 38 milliards de dollars).