Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Youcef Cherfa, a passé en revue jeudi à Kampala (Ouganda) les efforts déployés par l’Algérie dans le développement des systèmes agricoles et alimentaires, lors de sa participation aux travaux du Sommet extraordinaire de l’Union africaine sur le Plan global de développement agricole en Afrique (PDDAA) post-Malabo.
Lors de cette réunion à laquelle a assisté le secrétaire d’Etat du ministre des Affaires étrangères, chargé des affaires africaines, Bakhta Selma Mansouri, M. Cherfa a souligné, dans son intervention, les « efforts déployés par « l’Algérie pour le développement de l’agriculture ». et des systèmes alimentaires, l’expérience algérienne en matière de renforcement des capacités humaines en matière de gestion durable et intégrée des ressources naturelles, outre le développement du système national de recensement, en réalisant le Recensement Général de l’Agriculture (RGA) en 2024″, souligne un communiqué de presse. libération du ministère.
Cherfa a appelé, dans son discours, « à renforcer la coopération continentale et à lancer des partenariats ambitieux, capables d’élever les systèmes alimentaires des États africains à des niveaux supérieurs, dans le but de faire face aux défis actuels et de parvenir à un développement agricole inclusif sur le continent africain.
Le ministre aura, en marge de sa participation à cet événement, des rencontres bilatérales avec ses homologues africains et des représentants des autorités régionales et des organismes impliqués dans l’agriculture et la sécurité alimentaire, a indiqué le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche dans son communiqué. .
Il convient de noter que la conférence, qui se poursuivra jusqu’au 11 janvier, comprendra le débat sur le PDDAA post-Malabo, la révision du projet de stratégie et de plan d’action du programme détaillé pour le développement de l’agriculture en Afrique, ainsi que comme la Déclaration de Kampala sur le renforcement de la transformation des systèmes agroalimentaires mondiaux en Afrique pour un développement économique durable, conclut la même source.