Le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et son homologue sud-africain, M. Cyril Ramaphosa, ont réaffirmé leur soutien inconditionnel au droit légitime du peuple palestinien à établir son État indépendant et souverain sur les frontières de 1967 avec l’El. Qods comme capitale, conformément à la légalité internationale et aux résolutions des Nations Unies.
Ce soutien a été exprimé dans le communiqué conjoint qui a sanctionné la visite d’État en Algérie du président de la République d’Afrique du Sud, M. Cyril Ramaphosa, et la 7ème session de la Haute Commission pour la coopération bilatérale entre les deux pays (5-décembre 7). ).
Dans ce communiqué, les deux dirigeants « ont exprimé leur profonde préoccupation face aux sources de conflit et d’instabilité en Afrique et au Moyen-Orient », déplorant les « lourdes pertes en vies humaines, les dégâts matériels considérables, les déplacements de civils et le complexe humanitaire ». crises qui en résultent.
Après avoir souligné leur « soutien inconditionnel au droit légitime du peuple palestinien d’établir son Etat indépendant et souverain sur les frontières de 1967 avec Al-Qods pour capitale, conformément à la légalité internationale et aux résolutions des Nations Unies », les deux dirigeants ont souligné leur « soutien inconditionnel au droit légitime du peuple palestinien à établir son Etat indépendant et souverain sur les frontières de 1967 avec Al-Qods pour capitale, conformément à la légalité internationale et aux résolutions des Nations Unies », les deux dirigeants. a appelé à « la fin immédiate de l’impunité et de l’injustice ».
Ils ont, dans ce contexte, insisté sur « la mise en œuvre impérative des décisions de la Cour internationale de Justice en vue d’établir une paix durable dans la région », soulignant « la nécessité d’assumer la responsabilité des crimes de guerre et de génocide ». Dans le même temps, ils ont « demandé à la communauté internationale de respecter les principes du droit international et d’éviter de faire deux poids, deux mesures dans l’exercice de la justice ».
A cette occasion, les deux présidents ont passé en revue « un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun », affirmant « leur engagement commun en faveur de la résolution pacifique des conflits par le dialogue, la médiation, les négociations, le respect de la souveraineté des Etats et le renforcement de l’architecture ». de la paix et de la sécurité en Afrique.
À la lumière de ce qui précède, les deux dirigeants ont insisté sur « la nécessité de soutenir l’Union africaine dans le cadre de ses principes fondateurs et de son esprit panafricain » tout en « réaffirmant leur engagement à travailler en étroite collaboration pour permettre à l’Union africaine et à ses différents organes et structures pour parvenir à des solutions africaines aux problèmes africains.
Ils ont également reconnu « le rôle central joué par l’Algérie en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies pour la période 2024-2025 », soulignant « l’importance de profiter de cette plateforme onusienne pour défendre les causes africaines, notamment la consolidation de la paix ». la sécurité et la justice sur le continent.
« En ligne avec leur vision commune du renforcement de l’unité africaine et en faveur de solutions africaines, les deux présidents ont échangé leurs points de vue sur une série de questions d’actualité. »
Ils ont appelé, dans ce contexte, à « une réforme globale de l’ONU, notamment du Conseil de sécurité, afin d’assurer une représentation équitable de l’Afrique et d’autres régions moins représentées au sein de cette instance », soulignant « la nécessité impérative de parvenir à l’unité ». et la cohésion de l’Afrique dans les efforts de réforme en cours, conformément aux principes et objectifs consacrés dans l’Acte constitutif de l’Union africaine ».
Le président de la République et son homologue sud-africain ont également souligné « le leadership de l’Algérie en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies pour la période 2024-2025 », reconnaissant « le rôle central qu’elle joue dans la promotion des priorités de l’Afrique, mettant fin à la injustice historique faite au continent et renforcer sa voix sur les questions internationales ».