Corruption rampante, violation flagrante des libertés et trafic de drogue « florissant », telle est la situation du Maroc en 2024, sous le régime du Makhzen dont la seule préoccupation est de mettre en œuvre ses agendas subversifs et de consacrer son idéologie coloniale, une situation qui a provoqué la colère des dirigeants. Le peuple marocain est descendu dans la rue pour protester contre ces politiques qui entraînaient le pays dans le gouffre.
En réalité, l’année 2024 n’a été qu’un épisode d’une longue série de souffrances pour le peuple marocain, victime d’un régime qui profite de ses tourments et abuse de toutes les ressources de l’État uniquement pour prolonger son pouvoir, accroître sa richesse, à la pauvreté. son peuple et réprime ses opposants par l’épée et le feu, jouant toutes ses pires cartes pour « légitimer » son occupation du Sahara occidental, allant même jusqu’à vendre son âme au diable.
« Politique et affaires : mélange des genres makhzen », bannière sous laquelle le Maroc mène sa stratégie politique, pour monopoliser avec ses alliés les plus grands marchés publics et vendre les structures publiques aux hommes d’affaires, ignorant les mises en garde constantes contre le danger de la corruption qui corrompt. le fonctionnement de l’État et des institutions publiques, comme le montrent la plupart des rapports officiels sur le Royaume du Maroc, qui sombre également dans le classement de l’indice de perception de la corruption de Transparency International en raison de l’impunité.
Le Maroc a également connu une forte augmentation du taux de chômage ces derniers mois, atteignant 21,3%, sans compter la faillite de centaines d’entreprises ou l’impact de la sécheresse aggravée par le Makhzen qui persiste dans des cultures spéciales épuisant les ressources en eau au au détriment de la sécurité hydrique de sa population.
De plus, le régime marocain s’est imposé, en 2024 avec l’allié sioniste, comme le leader du trafic de drogue, pour exécuter ses plans diaboliques visant à déstabiliser le continent africain et à piller ses richesses en plus de ses financements. son projet colonial en soudoyant les décideurs pour qu’ils servent ses propres intérêts contrairement à la légalité internationale.
Dans une déclaration à l’APS, le journaliste marocain Ali Lahrouchi estime que l’année 2024 a prouvé de manière irréfutable que le makhzen est devenu une honte pour le peuple marocain, un régime, dit-il, qui a transformé le royaume en protectorat sioniste et vendu le Cause Palestinienne, dénonçant fermement le soutien officiel du Maroc au terrorisme sioniste.
Le même journaliste a également évoqué les scandales liés au trafic de drogue au Maroc, rappelant l’arrestation, sous pression internationale, des petits trafiquants de drogue impliqués dans le business dit « Escobar du Sahara », une tentative visant à dissimuler le grand barons. du sérail makhzénien.
Fermentation populaire face à l’autoritarisme Makhzen
Faisant référence à une étude préparée par l’Initiative mondiale contre la criminalité transfrontalière organisée, Lahrouchi affirme que le régime marocain tire des profits colossaux de ce commerce illicite, précisant que la production annuelle de cannabis au Maroc dépasse les 700 tonnes, soit l’équivalent de 23 milliards USD. . , sans négliger la valeur financière méconnue des diverses autres drogues transitant par le Maroc, en provenance d’Amérique du Sud et d’Asie, grâce aux facilités, aides et protections dont bénéficient les passeurs de la part des autorités marocaines, qui supervisent le transport, la dissimulation et la protection de celles-ci. aux trafiquants de drogue d’exporter leurs marchandises vers le reste du monde.
Sur le plan social, la vidéo captant le transport d’une femme enceinte à l’hôpital dans un cercueil, quelques jours avant la fin de l’année, témoigne du drame vécu par le peuple marocain, dépassé par une hausse vertigineuse des prix, une détérioration du pouvoir d’achat et, pire encore, une privation des conditions les plus simples d’une vie digne.
Dans un remarquable paradoxe, le régime marocain va jusqu’à exploiter les drames des victimes de catastrophes naturelles comme les tremblements de terre et les inondations, pour obtenir des prêts qui ont plongé le pays dans l’abîme de la dette, hypothéquant ainsi la situation politico-économique. décision.
Makhzen ne se contente pas de se soustraire à ses responsabilités face aux revendications de son peuple, il va jusqu’à faire de sa jeunesse, qui fuit le Royaume par milliers pour échapper à son oppression, un bouclier humain ou une carte de chantage pour jouer un rôle dans obtenir davantage de fonds de l’Union européenne (UE), grâce au rôle de gendarme de la protection des frontières.
En matière de droits humains, le Makhzen poursuit ses violations flagrantes des libertés en supprimant la liberté d’opinion et d’expression, mais aussi en s’en prenant aux journalistes, aux défenseurs des droits humains et aux opposants à la normalisation à travers des poursuites sécuritaires et judiciaires, des arrestations et des procès arbitraires.
Face à cette tragique réalité qui, au fil du temps, n’a cessé de s’aggraver, notamment avec la promulgation de certains projets de loi baptisant droits et libertés, le peuple marocain se retrouve entre le marteau et l’enclume, contraint de fuir pour se masser sur le des bateaux de la mort ou descendre dans la rue pour dénoncer ces politiques qui maltraitent l’inconnu, malgré la démarche sécuritaire visant à réprimer ces mouvements de contestation qui se multiplient dans tous les secteurs, sans même épargner les enseignants et les médecins.