Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Youcef Cherfa, a présidé, lundi, une réunion de travail avec les opérateurs économiques actifs dans le domaine de la production d’aliments pour poissons, au cours de laquelle il a été décidé de relancer la production à partir de 2025, indique un communiqué du ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Youcef Cherfa. Conseil de l’Europe. ministère.
La réunion, qui s’est déroulée en présence des directeurs sectoriels au niveau central et local, a été consacrée à l’examen et à la définition des moyens disponibles dans ce domaine et des besoins alimentaires nationaux pour le développement de l’aquaculture, dans le cadre de l’élaboration de la feuille de route. pour le développement du secteur de la pêche et de l’aquaculture, indique également le communiqué.
La réunion a permis de passer en revue le potentiel du tissu économique spécialisé dans la fabrication d’aliments pour poissons et sa capacité productive et d’examiner les mesures et mécanismes susceptibles de relancer la production nationale dans ce domaine, afin de couvrir les besoins et l’activité des pays continentaux. l’aquaculture.
À cet effet, le ministre a indiqué que le secteur de l’aquaculture figurait parmi les priorités du secteur, compte tenu de sa contribution à la sécurité alimentaire, précisant qu’à partir de 2025, la production nationale d’aliments pour poissons sera relancée afin de couvrir la demande croissante et de réduire importations, précisez la même source.
La séance a été marquée par les interventions des opérateurs économiques pour exprimer leurs inquiétudes, notamment celles liées au redémarrage des usines d’aliments pour poissons à l’arrêt et l’accompagnement des opérateurs économiques qui souhaitent obtenir des assises foncières pour réaliser leurs projets dans ce domaine.
Après avoir souligné la nécessité de relancer « de manière intensive » les projets aquacoles, un certain nombre de décisions ont été prises pour lever les obstacles, outre la décision de l’Office national de l’alimentation animale (ONAB) d’investir dans le créneau de l’alimentation des poissons, selon la même source.