Le ministre des Moudjahidines et des Ayants-droits, M. Laïd Rebiga, a souligné jeudi à Alger l' »intérêt particulier » accordé par l’Etat à la protection du patrimoine historique et culturel de la résistance populaire, du mouvement national et du glorieux Révolution de libération. .
Lors d’une séance plénière à l’Assemblée nationale populaire (APN) consacrée aux questions orales, M. Rebiga a souligné « l’intérêt particulier » accordé par l’Etat à la protection du patrimoine historique et culturel de la résistance populaire, du mouvement national et de la glorieuse Révolution de Libération. , précisant que « cela participe à la préservation et à la transmission de l’héritage historique de Chouhada et des Moudjahidines aux générations futures
».
A ce propos, il a évoqué « le recensement de 1.289 cimetières à Chouhada, 1.474 centres de torture, 5.215 sites historiques et 3.244 monuments commémoratifs à l’échelle nationale », notant « l’engagement de l’Etat à préserver ces sites historiques pour protéger l’État national ». mémoire . .
Pour ce faire, « le secteur assure la restauration annuelle des sites historiques à travers le pays, en coordination avec différents partenaires, dont la famille révolutionnaire, les communautés locales et les acteurs de la société civile », a expliqué M. Rebiga.
Soulignant « l’importance majeure de la commémoration de toutes les étapes de l’histoire de l’Algérie », le ministre a fait état de « plus de 14.000 étapes historiques (batailles et événements) liées à la glorieuse Révolution de libération ».