Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali, a reçu mardi une délégation parlementaire conjointe composée de membres de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN, conduite par Marcos Perestrello de Vasconcellos, ainsi que de membres de la sous-commission sur la résilience et la résilience. La sécurité civile et le Groupe spécial pour la Méditerranée et le Moyen-Orient présidé par Fernando Gutiérrez, indique un communiqué de presse de la Chambre basse du Parlement.
La réunion a porté sur « plusieurs domaines d’intérêt commun entre les deux instances et questions liées à l’actualité internationale, notamment la situation politique et environnementale en Méditerranée, la décolonisation, la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée, les défis politiques, économiques et sécuritaires en Méditerranée ». la région africaine du Sahel et le changement climatique.
A cette occasion, le président de l’APN a indiqué que cette visite « intervient alors que l’Algérie continue de réaliser de nombreuses réalisations dans divers domaines et de les approfondir avec le début du deuxième mandat présidentiel de M. Abdelmadjid Tebboune », rappelant, dans ce contexte. , ce qui « a été réalisé en termes de construction d’institutions, de soutien aux libertés et de renforcement de l’accès des jeunes et des femmes à l’action politique ».
Au cours de la rencontre, M. Boughali « a réaffirmé les positions de l’Algérie concernant le respect de la souveraineté des Etats et son non-alignement et son attachement aux règlements pacifiques fondés sur le respect de la légalité internationale », rappelant « la position de l’Algérie à l’égard des justices sahraouies ». sa cause et son soutien au droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément aux résolutions des Nations Unies.
De son côté, le chef de la délégation parlementaire conjointe de l’Assemblée parlementaire de l’Otan a souligné l’importance de ces rencontres qui constituent, a-t-il dit, « une étape importante dans le renforcement des relations avec » l’Algérie et des actions communes coordonnées pour relever les défis mondiaux et trouver des solutions. » . aux crises complexes en Méditerranée.
De son côté, le président du Groupe spécial pour la Méditerranée et le Moyen-Orient, Fernando Gutiérrez, a souligné « la nécessité d’élargir les relations avec le Parlement algérien et de les promouvoir vers de nouvelles perspectives permettant l’échange d’expériences et d’expertise face des défis actuels.