Le président du Conseil de la Nation, Salah Goudjil, a déclaré que la Déclaration du 1er novembre était « un guide et une feuille de route pour une Algérie indépendante, stable et prospère ».
Dans un discours lu en son nom par le vice-président du Conseil de la Nation, M. Ahmed Kharchi, lors d’une conférence organisée en marge des activités de la Foire internationale du livre d’Alger (SILA), qui a ouvert ses portes le Jeudi, au Parc des Expositions des Pins Maritimes (SAFEX) à Alger, M. Goudjil a affirmé que la Révolution du 1er novembre « a redonné aux peuples opprimés et colonisés la fierté des victoires et rétabli l’équilibre des pouvoirs selon la légitimité humaine et internationale ».
Lors de cette conférence organisée sous le thème : « L’esprit glorieux de novembre : héritage et mémoire », M. Goudjil a ajouté que la Déclaration du 1er novembre était « un guide et une feuille de route, non seulement vers « l’indépendance, mais vers la construction d’un une Algérie indépendante, stable et prospère », soulignant que « 70 ans après le déclenchement de la Glorieuse Révolution de Libération, son esprit reste vivant en nous, éclairant notre chemin vers de nouvelles victoires dans une Algérie nouvelle et stable, dont les fondements sont la base. ont été posées par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune ».
Dans le même contexte, M. Goudjil s’est félicité de l’intérêt de l’Etat pour la culture et la créativité, qui s’est traduit, a-t-il dit, par la création du Prix du Président de la République récompensant les personnalités de la culture et des sciences et du Prix de l’Etat. pour les arts et les lettres.
De son côté, le Moudjahid Aïssa Kasmi a évoqué la politique coloniale de l’occupation française, mettant en avant les principales étapes de la lutte du peuple algérien, depuis la résistance populaire, en passant par le mouvement national jusqu’à la Révolution du 1er novembre couronnée par l’indépendance. et le rétablissement de la souveraineté nationale.
De son côté, le journaliste et écrivain Sadek Bakhouche, a axé son intervention sur les débuts de la Révolution de Libération, issu du mouvement national, appelant à la préservation de la mémoire nationale et à sa transmission aux générations futures.