Le Centre national d’études et de recherches sur le mouvement national et la révolution du 1er-Novembre (CNERMN54) a organisé, mardi à Alger, un colloque historique intitulé « Escales indélébiles pour une mémoire nationale pionnière ».
Il s’agit d’événements marquants comme les batailles de « Sidi Ibrahim » (22 septembre 1845) et de « Djorf » (22 septembre 1955) et la commémoration du martyre de l’emblématique chahid Zighoud Youcef (23 septembre 1956).
A cette occasion, le ministre des Moudjahidines et des Ayants-droits, Laïd Rebiga a affirmé que les sacrifices éternels des chouhada « nous procurent toujours détermination, persévérance, attachement et cohésion », comme le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans son discours. discours.
Ces sacrifices, ajoute-t-il, « nous appellent à rester mobilisés et fidèles au serment de la chouhada » pour préserver l’unité du pays et pour que l’Algérie reste « motivée par ses ambitions et souveraine dans ses décisions ».
Concernant le thème de la conférence, le ministre a indiqué que la bataille de Sidi-Brahim à Souahlia (Tlemcen), a constitué « une étape qui a permis de comprendre le génie et la philosophie incomparable de l’Emir Abdelkader » dans sa lutte contre l’occupant français. , tandis que la bataille d' »El Djorf », a été une étape révolutionnaire « où des héros aurès tels que Bachir Chihani, Abbès Laghrour, Adjel Adjoul, Lazhar Cheriet et d’autres ont fait preuve de bravoure, exprimant leur foi dans la cause nationale.
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Le ministre a également évoqué l’anniversaire du martyre du héros Zighoud Youcef, soulignant qu’il était un « homme de parole devenu une référence en matière de patriotisme, de planification, d’organisation et de mobilisation ».
La conférence à laquelle ont participé de nombreux moudjahidines et moudjahidines, représentants des forces de sécurité et de la société civile, a été marquée par la présentation d’interventions liées à ces interpellations, mettant en valeur la richesse de l’histoire contemporaine de l’Algérie.