Les participants du Séminaire international sur la révolution algérienne dans sa dimension africaine, dont les activités se sont achevées mercredi à Alger, ont adopté la vision du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, favorable à une action africaine commune en matière de prévention des conflits et résolution. , conformément au principe des solutions africaines aux problèmes africains.
A ce séminaire, les participants « ont adopté à l’unanimité la vision du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, en faveur d’une action africaine commune en matière de prévention et de règlement des conflits sur notre continent pour parvenir à l’intégration économique et au développement, conformément au principe des solutions africaines aux problèmes africains.
Dans leurs recommandations, ils ont exprimé leur « profonde gratitude » au Président de la République pour son « intérêt pour les problèmes du continent africain et ses efforts assidus pour renforcer l’unité africaine ».
Les participants ont également salué le rôle de l’Algérie comme « une source d’inspiration pour les peuples africains dans la démarche qui promeut les actions africaines communes et les solutions africaines aux problèmes africains, conformément à la vision prospective du Président de la République, qui insiste toujours sur la cristallisation des solutions africaines dans le cadre purement africain et plaide dans toutes les enceintes régionales et internationales pour la sécurité, la paix et le développement durable de l’Afrique de demain.
Les recommandations soulignaient en outre la nécessité de « continuer à soutenir toutes les causes justes et les peuples opprimés à travers le monde, le droit du peuple palestinien à établir son État indépendant avec El Qods comme capitale, et le droit inaliénable et inaliénable des Sahraouis. peuple à l’autodétermination.
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Les participants ont également recommandé de « renforcer le lien historique entre les pays africains à travers des programmes et des projets visant à contribuer à la sauvegarde du patrimoine commun et à sensibiliser les nouvelles générations ».
Ils préconisent donc l’ouverture d’un département d’études africaines au niveau du Centre national d’études et de recherches sur la résistance populaire, le mouvement national et la révolution à partir du 1er novembre 1954 pour renforcer la coopération entre pays africains en matière d’études et d’analyse. sur les questions de mémoire africaine partagée.
Les participants ont également recommandé le développement d’une encyclopédie historique pour renforcer la mémoire collective, appelant à ce que ce séminaire soit constitué comme un Forum intergénérationnel de la mémoire africaine qui se tiendrait périodiquement dans les pays africains et à créer une base de données des histoires africaines qui rassemblerait les manuscrits, articles et autres études historiques.
Les participants ont également recommandé « un jumelage entre les villes algériennes et africaines afin de promouvoir les liens amicaux entre les deux parties ».
Saluant le rôle des zaouïas et des confréries soufies d’Algérie dans leurs dimensions régionale et africaine, ils ont souligné la nécessité « d’activer ce rôle dans la promotion des liens culturels et religieux » entre les peuples du continent.
Les participants ont enfin recommandé la diffusion des travaux de ce séminaire à travers différents médias.
Pour rappel, le Séminaire international sur la révolution algérienne dans sa dimension africaine a été organisé par le ministère des Moudjahidines et des ayants droit, en coordination avec le ministère des Affaires étrangères et la Communauté nationale à l’étranger et avec la participation de l’Association internationale des amis. de la révolution algérienne.