Les élections présidentielles du 7 septembre couronnent le processus démocratique initié par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et concrétisent, dans la nouvelle Algérie, le principe de « souveraineté du peuple, pour le peuple », indique samedi la presse. . libération du Conseil de la Nation.
Dans un communiqué à la veille de la célébration de la Journée internationale du parlementarisme (30 juin), le bureau du Conseil de la Nation, présidé par M. Salah Goudjil, président du Conseil, a souligné que « la prochaine élection présidentielle anticipée vient couronner un véritable processus démocratique initié par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et concrétise, dans la nouvelle Algérie, le principe de la souveraineté du peuple, pour le peuple.
Le Bureau du Conseil estime que « en tant qu’Algériens, nous ne pouvons qu’être fiers des progrès tangibles qui ont été réalisés dans le processus de construction de l’expérience démocratique algérienne, qui émane des valeurs de notre société et des principes de la « glorieuse révolution de novembre, renforcée par la grandeur des sacrifices des martyrs de la résistance nationale et du devoir national pendant la décennie noire », qui a permis à notre pays d’accéder aujourd’hui au stade des racines démocratiques, loin de tout diktat extérieur
Dans ce contexte, le bureau du Conseil a évoqué le statut de la femme algérienne qui « a été encore renforcé par l’amendement constitutionnel de 2020 pour couronner les efforts déployés par l’Algérie pour renforcer son rôle dans tous les domaines, tant au niveau national qu’international, conformément aux dispositions de la résolution 1325 des Nations Unies et en s’adaptant aux transformations géopolitiques mondiales actuelles.
Le bureau du Conseil ajoute également : « L’Algérie a pris soin d’autonomiser la jeunesse et de renforcer le caractère social de l’Etat, ce qui a contribué à garantir des niveaux fondamentaux de droits économiques et sociaux pour tous, permettant ainsi à l’Algérie de remplir ses obligations envers ses citoyens. « , en cohérence avec le programme de l’Algérie nouvelle initié par le Président de la République, fondé sur le principe de la démocratie par le peuple et pour le peuple, ayant l’homme pour principe et but. »
Sur le plan international, « l’Algérie nouvelle s’efforce d’instaurer une démocratie accrue dans les relations internationales et de restaurer la crédibilité de la diplomatie, en privilégiant les solutions négociées et pacifiques pour la résolution des conflits dans le cadre du multilatéralisme international, en profitant notamment de son avantages. le statut de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU », note la même source, rappelant que la démarche algérienne « se fonde sur son héritage de novembre et sa profonde conviction dans la nécessité pour l’humanité de valeurs telles que la justice, le droit et l’équité pour parvenir à la justice sociale pour les personnes et réduire les écarts entre le Nord et le Sud.
Dans le même contexte, le Conseil de la Nation a estimé qu’« il devient évident pour chacun, en toute objectivité, qu’il existe une véritable crise dans la perception de la démocratisation des relations internationales pour la préservation de la sécurité et de la paix mondiales chez ceux qui , jusqu’à récemment, a osé donner des leçons mais n’a pas hésité à restreindre les expressions les plus fondamentales de la pratique démocratique à quiconque faisait preuve, ou faisait preuve de courage, en critiquant l’arrogance sioniste et en exigeant les droits légitimes de défense du peuple palestinien.
C’est pourquoi il a appelé à « contribuer au renforcement du caractère multilatéral du système international et à la consolidation de l’ordre juridique international, afin de garantir une plus grande solidarité, un meilleur équilibre, une coexistence pacifique et l’égalité des droits de l’homme entre les peuples et les nations ». . .
Evoquant la Journée internationale du parlementarisme et le 135e anniversaire de la création de l’Union interparlementaire, le Conseil de la Nation a estimé, dans son communiqué, que ces deux événements « soulignent clairement la place particulière qu’occupent les parlements, à l’intérieur comme à l’extérieur ». Les Etats, dans les instances parlementaires régionales et internationales, compte tenu de leur contribution à la législation et au contrôle.