La présidence palestinienne a salué jeudi la décision de la Colombie de rompre les relations diplomatiques avec l’entité sioniste, après l’agression génocidaire menée par les forces d’occupation sionistes dans la bande de Gaza, qui s’est poursuivie pendant 7 mois.
« Nous saluons les positions avancées et courageuses prises par la République amie de Colombie pour mettre fin à la guerre génocidaire en cours dans la bande de Gaza », a déclaré la présidence palestinienne, selon l’agence de presse officielle (Wafa).
La présidence palestinienne a souligné que « les nobles positions prises par la Colombie amie, en tant que gouvernement et peuple, constituent un exemple à suivre pour le monde afin de lier les forces d’occupation sionistes aux résolutions de légitimité internationale ».
La Présidence a constaté que l’entité sioniste, puissance occupante, s’efforce de prolonger le génocide qu’elle pratique contre le peuple palestinien, malgré la résolution du Conseil de sécurité en faveur d’un cessez-le-feu immédiat.
Bien que la Cour internationale de Justice ait imposé des mesures d’urgence contre l’entité sioniste pour la contraindre à se conformer à la convention sur le génocide, elle continue malgré tout sa guerre, sans répondre, a relevé la présidence palestinienne.
Cela appelait la communauté internationale à « prendre des positions plus fermes sur les crimes de génocide contre les Palestiniens et à ne pas permettre à l’entité sioniste de perpétuer ses crimes et violations ».
Mercredi, Gustavo Petro a annoncé que la Colombie romprait jeudi ses relations diplomatiques avec l’entité sioniste, en raison de son agression génocidaire en cours contre l’enclave palestinienne.
Le bilan des victimes de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Gaza s’est alourdi jeudi à 34.596 martyrs et 77.816 blessés depuis le 7 octobre, ont annoncé les autorités sanitaires palestiniennes.