Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a tenu, mardi, au siège de l’Organisation des Nations Unies (ONU), plusieurs réunions bilatérales avec ses homologues, entre les représentants des Etats membres et non membres du système de sécurité. Conseil, notamment la Russie, l’Indonésie, l’Iran, la Jordanie, la Malaisie et le Liban, et ce dans le cadre de la mission principale qu’il effectue à New York, chargée par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, de participer à la haute séance de débat au niveau du Conseil de sécurité sur la question palestinienne, indique un communiqué du ministère.
« Dans le cadre de la mission qu’il effectue à New York, mandatée par le Président de la République pour participer à la séance de débat de haut niveau du Conseil de sécurité sur la question palestinienne, le ministre des Affaires étrangères et le ministère de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf a eu, mardi au siège de l’ONU, plusieurs réunions bilatérales avec ses homologues parmi les représentants des Etats membres et non membres du Conseil de sécurité, notamment la Russie, l’Indonésie, l’Iran, la Jordanie, la Malaisie et le Liban.
Dans ce contexte, ses entretiens avec son homologue russe Sergueï Lavrov ont porté sur les relations de coopération et de partenariat qui unissent les deux pays, ainsi que sur les voies et moyens de renforcer leur coordination au sein du Conseil de sécurité, notamment en ce qui concerne Parmi les questions qui sont au centre de leurs préoccupations, au premier rang d’entre elles se trouve la question palestinienne et la situation dans la région sahélo-saharienne, indique le communiqué.
Lors de la rencontre avec son homologue indonésienne Mme Retno Marsudi, M. Attaf a évoqué la nécessité d’intensifier la pression diplomatique, politique et juridique pour mettre fin au cessez-le-feu à Gaza et mettre fin à l’immunité dont jouit le colonialiste sioniste. les bénéfices de l’occupant, et cela en intensifiant les procédures et les efforts auprès du Conseil de sécurité et des différentes instances judiciaires internationales.
Par ailleurs, la rencontre entre M. Attaf et le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amirabdollahian, a permis d’examiner les moyens de renforcer les relations bilatérales, notamment à l’approche de la visite officielle qui sera effectuée par le président iranien, Ebrahim. Raïssi. , en Algérie.
Les deux parties ont également discuté de la situation dans les territoires palestiniens occupés et des répercussions de l’agression sioniste contre Gaza sur la sécurité et la stabilité de l’ensemble de la région, ajoute la même source.
D’autre part, les entretiens avec le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et des Expatriés du Royaume de Jordanie, Ayman Safadi, ont représenté l’occasion de passer en revue la dynamique positive qui marque les relations bilatérales au vu de la vision de la réunion conjointe. des dirigeants des deux pays visant à renforcer la coopération et à l’élever à un niveau supérieur.
« Les deux ministres sont convenus de poursuivre leur coordination en soutien au peuple palestinien frère et de travailler avec divers acteurs internationaux pour mettre fin à l’agression injuste dont ils sont victimes », peut-on lire dans le communiqué.
Le chef de la diplomatie algérienne a également rencontré son homologue malaisien, M. Mohamad Hassan, avec qui il a passé en revue l’état des relations algéro-malaisiennes et les moyens de les renforcer conformément aux aspirations des peuples et des dirigeants des deux pays. Les deux parties ont discuté de l’évolution de la cause palestinienne et des souffrances du peuple palestinien et sont convenues de poursuivre la coordination conformément aux positions de principe des deux pays dans leur soutien constant au peuple palestinien et à ses droits légitimes.
En conclusion, M. Attaf et son homologue libanais, M. Abdallah Bouhabib, ont évoqué les relations exceptionnelles qui unissent les deux pays et les voies et moyens de promouvoir la coopération bilatérale dans de nombreux domaines, soulignant à cet égard la nécessité de renforcer les traditions de concertation et concertation. la coordination entre les deux pays, notamment sur les questions liées à la région arabe au sein du Conseil de sécurité, incluant notamment la nécessité d’intensifier les efforts et les initiatives pour mettre fin à l’incendie à Gaza et éviter un conflit régional qui menace la paix et la sécurité régionale et internationale, ajoute la source.