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Rebiga : Champs de mines antipersonnel à l’est et à l’ouest du pays, un crime colonial atroce

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Le ministre des moudjahidines et ayants droit, Laïd Rebiga, a déclaré jeudi soir à Alger que les champs de mines antipersonnel à l’est et à l’ouest du pays sont un crime colonial abject et atroce, qui s’ajoute à des milliers d’autres crimes commis contre l’Algérie. personnes. lors de la colonisation.

Prise de parole lors d’une cérémonie organisée en hommage aux personnes gravement handicapées de la guerre de libération nationale, victimes des mines antipersonnel et leurs ayants droit, lors de la célébration des 60 ans de l’indépendance, en présence de plusieurs ministres, du représentant Au ministère de la Défense et au wali d’Alger, M. Rebiga a indiqué que les champs de mines antipersonnel aux frontières est et ouest du pays « sont un crime colonial atroce et abject » qui s’ajoute à « des milliers d’autres crimes commis contre le peuple algérien ». pendant l’occupation, dont les conséquences sont encore présentes aujourd’hui ».

Le ministre a souligné que « la pose de mines qui témoignent de la barbarie coloniale » a causé des pertes humaines et de nombreuses maladies et handicaps pendant la Glorieuse Révolution et après l’indépendance. C’est un véritable crime contre la terre et contre l’humanité.

M. Rebiga a salué « le rôle pionnier des éléments de l’Armée Nationale Populaire (ANP) dans le déminage de toutes les zones frontalières minées par l’occupant pendant la guerre de libération ».

Il a également rappelé que l’Etat algérien s’est efforcé depuis l’indépendance de « fournir une prise en charge médicale, sociale et psychologique aux moudjahidines et ayants droit en justice, ainsi qu’aux ayants droit des chouhada et aux victimes des mines antipersonnel à travers la protection, la promotion et l’indemnisation ». . victimes, outre l’instauration du droit à l’indemnisation et aux assurances sociales, outre le droit de bénéficier d’appareils et d’accessoires de mobilité adaptés aux divers handicaps, gratuitement au niveau du Centre National des Invalides et des Victimes de la Révolution de Libération Nationale et les ayants droit ».

A cet effet, le ministère des Moudjahidines, poursuit-il, « veille à assurer la catégorie des invalides et victimes civiles d’une assistance médico-sociale en favorisant les services des unités sous tutelle à travers ses équipes médico-sociales. garantir un support continu et des services de proximité à cette catégorie ».

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