La Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT) a récemment organisé un atelier de formation sur le classement Times Higher Education (THE) des établissements d’enseignement supérieur, visant à souligner l’importance de ce classement, ainsi que les avantages et les opportunités dont il dispose. propose aux universités de connaître les méthodes et les outils nécessaires pour améliorer la visibilité des universités algériennes, selon un communiqué du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique lundi.
« Dans le cadre des efforts du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique pour améliorer la visibilité et le classement des établissements universitaires et de recherche, la DGRSDT a récemment organisé un atelier de formation sur le classement +THE+, au profit des responsables de coordination de 25 établissements d’enseignement supérieur établissements d’enseignement et de recherche scientifique, encadrés par des experts internationaux de l’établissement +THE+ et de l’industrie mondiale de l’édition scientifique +Assafir+ », indique le communiqué.
Cet atelier vise, selon la même source, « à souligner l’importance du classement +THE+, ainsi que les avantages et opportunités qu’il offre aux universités pour connaître les méthodes et outils nécessaires pour améliorer la visibilité des universités algériennes », et ce « en contribuant à renforcer et promouvoir leur visibilité au niveau international » et « en mettant en valeur les compétences scientifiques ».
L’amélioration de la visibilité de l’université algérienne passe par « l’établissement de partenariats stratégiques » et « l’information sur les mécanismes de classement, pour permettre à l’université de développer et d’adapter ses stratégies d’enseignement supérieur et de recherche scientifique », ajoute le communiqué.
Le classement « Times Higher Education » des établissements d’enseignement supérieur publié par le magazine londonien « The Times », a été créé fin 2004 au profit des étudiants, des responsables universitaires et académiques, ainsi que des décideurs.
Il aide à expliquer les procédures d’insertion des données des établissements candidats et classe actuellement plus de 1.700 établissements universitaires dans le monde.
La méthodologie utilisée par ce classement repose sur un ensemble complexe d’indicateurs quantitatifs et qualitatifs qui incluent le nombre d’enseignants-chercheurs et d’étudiants, la production scientifique et son impact sur les bases de données Scopus, la qualité de l’enseignement, l’ouverture internationale et l’attractivité des unités . .
Cette méthodologie repose sur 17 indicateurs soigneusement sélectionnés pour fournir les comparaisons les plus complètes et les plus équilibrées, réparties en cinq grands domaines, à savoir : la qualité de l’enseignement supérieur, la qualité de la recherche scientifique, les citations, l’ouverture internationale et l’impact sur l’industrie.