Les travaux de la 9e session des consultations politiques algéro-françaises ont débuté mercredi à Alger, en présence des secrétaires généraux des ministères algérien et français des affaires étrangères.
A cette occasion, le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Amar Belani, a souligné « la nécessité de poursuivre les efforts entrepris de part et d’autre pour mieux réussir à élever le niveau des relations et à les articuler entre elles. avec des réponses appropriées, notamment aux deux marqueurs essentiels de notre relation globale que sont la mémoire et la mobilité (…) et la base du partenariat renouvelé auquel nous aspirons ».
Belani s’est également félicité de la tenue de cette rencontre qui intervient, a-t-il dit, « au moment où nos relations bilatérales connaissent des progrès et une courbe ascendante positive sous l’impulsion déterminée des deux Présidents de la République et leur volonté commune de placer les relations entre L’Algérie et la France dans une dynamique de progrès irréversible, tout en restant fidèles à la déclaration d’Alger », signée le 27 août lors de la visite du président français Emmanuel Macron en Algérie.
A cette occasion, M. Belani a salué l’accélération de la fréquence des rencontres bilatérales depuis la 8e session de consultations politiques tenue à Paris en septembre dernier, qui confirme « la volonté de nos deux pays de oui et de fond à Alger. Déclaration pour un partenariat renouvelé entre les deux pays ».
De son côté, la secrétaire générale du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, Anne-Marie Descôtes, a indiqué que cinq mois après la visite officielle et amicale du président français à Alger et Oran, en août, « une étape est en cours sans précédent. construit dans la relation entre nos deux pays, dans laquelle nous voulons être pleins de confiance ».
Accompagnée d’une vingtaine de hauts responsables de la coopération, Mme Descôtes a souligné que la visite de 15 ministres français à Alger en octobre dernier pour le Comité intergouvernemental de haut niveau a permis d’identifier de nouveaux axes de coopération et d’échanges, se réjouissant que les contacts au niveau administratif niveau qu’ils ont gagné en fréquence et en fluidité depuis l’automne pour une meilleure compréhension.
« Ces échanges doivent nous aider à identifier de nouvelles voies de coopération (…) L’enjeu est de moderniser cette coopération qui est au bénéfice de nos deux peuples », a-t-elle déclaré, soulignant « la volonté d’avancer de manière pragmatique et pragmatique ». . manière constructive, étant pleinement conscients de notre responsabilité en tant que SG de mener ce dialogue à des résultats concrets ».