Le lancement de la 20e édition du festival national de musiques actuelles pour la jeunesse sous le slogan « la jeunesse d’Algérie Ahl El Fen oua El Ibdaâ » a eu lieu lundi à la salle El Maghreb d’Oran, en présence des autorités locales. . .
Le directeur de la jeunesse et des sports de wilaya, Yacine Siafi, a souligné l’importance de ce rendez-vous national qu’il considère comme « une occasion de distinguer les jeunes talents ».
La cérémonie d’ouverture du festival, qui se poursuivra jusqu’au 28 décembre, a été marquée par le décès des chanteurs Mâati El Hadj et Sabeur Houari, ainsi que des chorales des maisons de jeunesse El Ançor et Sidi Bachir qui ont interprété des chants patriotiques et révolutionnaires.
Le programme de la première journée du festival s’est ouvert par la présentation de compositions lyriques inspirées de la terre algérienne accompagnées de musiques actuelles, interprétées par huit groupes de Relizane, Souk Ahras, Béchar, Tissemsilt, Sétif, Boumerdes, Oran et la préfecture de Debdab (Illizi) qui a créé une ambiance particulière auprès du jeune public.
Participent à cette édition, qui coïncide avec les vacances scolaires d’hiver, seize groupes de quatorze wilayes en course pour remporter les trois premières places, sous l’encadrement d’un jury de musiciens reconnus sur la scène nationale.
Des soirées sont également prévues à Misserghine et au Jardin Méditerranéen dans le quartier Akid Lotfi d’Oran, ainsi que des sorties touristiques au profit des participants pour découvrir les sites et monuments historiques de la capitale de l’ouest algérien.
Le festival national des musiques actuelles pour la jeunesse est organisé, sous l’égide du ministère de la jeunesse et des sports, par la wilaya d’Oran et DJS, en collaboration avec la ligue des activités culturelles d’Oran, avec les cellules jeunesse et avec le Office national de la culture et de l’information.