L’année 2022 a vu un rythme soutenu dans la mise en œuvre des engagements du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, concernant les mesures visant à améliorer le cadre de vie des citoyens et à renforcer la politique sociale de l’État, consacrés dans la Déclaration de 1er novembre 1954.
En ce sens, le Gouvernement, chargé de la mise en œuvre du programme du Président de la République, a accordé une attention particulière à l’amélioration du pouvoir d’achat des citoyens et au renforcement des systèmes de prévoyance sociale et de retraite, notamment par la revalorisation des salaires et des pensions, la mise en place d’allocations de chômage et d’autres mesures visant à stabiliser les prix.
En ce sens, le Président de la République a ordonné, au sein du dernier Conseil des ministres, l’alignement de la grille salariale d’abord sur le pouvoir d’achat, puis sur le soutien continu aux catégories socialement vulnérables, en tenant compte de la valeur du travail et développement. de la production comme principaux repères de revalorisation des salaires.
Le Président de la République, qui a réitéré à plusieurs reprises sa ferme conviction de ne pas renoncer au caractère social de l’Etat, a ainsi ordonné la révision à la hausse de l’allocation chômage, de 13.000 DA à 15.000 DA, l’Etat devant prendre en charge les frais de couvrant la santé des chômeurs pendant la période de perception de l’allocation.
Il a également ordonné le relèvement du seuil minimum de pension de retraite à 15.000 DA pour ceux qui percevaient une pension inférieure à 10.000 DA et à 20.000 DA pour ceux qui percevaient une pension de 15.000 DA afin de l’harmoniser avec le seuil minimum. salaire qui passe également de 18.000 DA à 20.000 DA à partir de 2021.
Dans le même sens, le Président Tebboune a ordonné la poursuite de l’évaluation des salaires qui seront ainsi augmentés, sur la période 2023-2024, entre 4.500 DA/an et 8.500 DA/an selon les catégories, soit des augmentations pour les années 2022 , 2023 et 2024 atteignant 47 %.
Ces augmentations salariales concerneront environ 2,8 millions de fonctionnaires, selon le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Youcef Chorfa, qui a également mentionné que « dans le secteur économique, des négociations sont en cours entre les partenaires sociaux et les employeurs pour permettre aux travailleurs de bénéficier des augmentations prévues par les conventions collectives ».
Pour le ministre, les décisions prises par le Président sont « historiques étant donné que les augmentations de salaire et les indemnités ont augmenté de 50% ces dernières années », ce qui prouve, a-t-il dit, que le chef de l’Etat « a honoré ses engagements envers le par le social catégories en question ».
En ce sens et pour que cette démarche permette l’identification des familles bénéficiant d’un revenu unique, le président Tebboune a insisté sur l’impérieuse nécessité de généraliser la numérisation.
Outre ces décisions qui renforcent les acquis sociaux des Algériens, il a ordonné, lors d’une réunion du Conseil des ministres, la révision des statuts particuliers de toutes les catégories professionnelles du secteur de la santé et la promotion, la modernisation et l’uniformisation de la qualité des soins hospitaliers et des services de santé.
Il en est de même pour le secteur de l’Éducation nationale qui a bénéficié de plusieurs mesures prises par le chef de l’État, à savoir le mandat immédiat de tout le personnel enseignant contractuel.
Ces décisions viennent s’ajouter aux mesures décidées par le président Tebboune début 2022, notamment le gel, jusqu’à nouvel ordre, de tous les impôts et taxes, notamment les taxes contenues dans la loi de finances 2022 sur certaines denrées de consommation, qui réduit le pouvoir d’achat des Algériens, en plus de la suppression de l’impôt sur le revenu au profit des catégories de revenus limités ainsi que la révision à la hausse du point d’indice.
Bref, la protection du pouvoir d’achat, la préservation des emplois et la prise en charge sociale des citoyens sont autant d’indicateurs qui confirment le caractère social de l’État, qui n’a jamais lésiné sur les moyens matériels et financiers pour préserver le caractère social de l’Algérien. État.
En ce sens, l’année 2023 sera l’année de la consolidation et de la consécration des acquis accomplis ces dernières années pour consolider le socle de l’Algérie nouvelle, soutenu par le président Tebboune, qui traduit sur le terrain sa « ferme conviction » de poursuivre le social politique de l’Etat.