Les participants au forum intergénérationnel pour le soutien de l’action arabe commune, ont souligné lundi, à Oran, l’importance de la mémoire comme source d’inspiration pour la consolidation des valeurs de solidarité et la défense des causes arabes.
Les participants ont souligné, au cours d’une séance à huis clos, qui traitait du thème « Le renouveau de la mémoire et de la communication intergénérationnelle au service de l’action arabe commune » que « La Révolution du 1er novembre 1954 est un modèle pour le développement de la conscience des pays arabes. et peuples en lutte commune ».
Le coordinateur de la séance, le Koweïtien, Ayed El Djarid, a déclaré, lors d’un point de presse, que « l’Algérie a mené pendant 132 ans d’occupation française, un grand combat, cité comme un exemple à suivre ».
En ce sens, il a souligné le rôle des institutions, celle de la société civile, à cette époque, dans la sensibilisation à la lutte contre le colonialisme français et la préservation de l’identité arabo-islamique du pays ».
Par ailleurs, les intervenants ont également abordé les crimes atroces et les massacres commis par le colonialisme français contre le peuple algérien tout au long de la période d’occupation. « L’occupant français de l’Algérie rivalisait de pouvoir, en termes de meurtre et de génocide », ont-ils noté.
Dans son intervention, au cours des travaux de cette séance, Mohtasseb Mustapha Hamaïl, un Palestinien détenu dans les prisons sionistes depuis 2008 avant sa libération, il y a 4 mois, a rendu compte des conditions des détenus dans les prisons de l’occupation sioniste, affirmant que « les pratiques sionistes contre les prisonniers sont en violation. de toutes les conventions internationales.
Ce forum de cinq jours, organisé par l’Observatoire National de la Société Civile (ONSC), est marqué par la participation de près de 150 hauts fonctionnaires, militants de la société civile, influenceurs et personnalités académiques de haut rang de dix-neuf pays arabes.