La plupart des problèmes dont souffraient les zones grises dans les différentes wilayes ont été définitivement résolus, a déclaré samedi à Alger le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.
Présidant le Palais des Nations lors de l’ouverture des travaux de la réunion Gouvernement-Walis, le Président Tebboune a déclaré que « près de 82% des questions soulevées dans les zones grises ont été résolues », souhaitant résoudre les questions restantes » en début 2023″.
« Nous ne devrions pas parler de zones grises avant fin 2022 et début 2023 », a-t-il déclaré.
La gestion de ces zones en termes de réalisation de projets d’ouverture et d’approvisionnement en toutes les nécessités de la vie, y compris les structures scolaires, l’eau, l’énergie et les transports, coûte « des milliards de dinars », a indiqué le président de la République.
Le président Tebboune dans son allocution a rendu hommage au rôle des walis dans la prise de contrôle de ces zones en prenant plusieurs mesures pour garantir une vie décente aux citoyens.
« J’insiste pour que la question des zones grises soit close, pour mettre fin aux aspects de manque de développement observés en 2020, notamment le manque d’eau, l’éloignement des écoles, l’absence de routes à jour, d’électricité et autres », a-t-il a ajouté le président de la République.