Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali, a reçu dimanche à Alger l’ambassadeur de Roumanie en Algérie, Gruia Jacota, avec qui il a passé en revue les moyens de renforcer les relations bilatérales entre les deux pays, notamment dans le domaine parlementaire. , a indiqué un communiqué de la chambre basse.
« Evoquant les relations bilatérales privilégiées et leur histoire honorable, M. Boughali a rappelé la position de la Roumanie face à la Révolution algérienne en reconnaissant l’indépendance de l’Algérie en avril 1962 », démontrant « la volonté du parlement algérien de renforcer la coopération, notamment parlementaire, pour rapprocher les deux peuples et renforcer les liens de coopération », indique le communiqué.
Le président de l’APN a ensuite abordé « une série de questions intéressant les deux pays, au premier rang desquelles se trouve la cause palestinienne et la situation en Libye et dans la région du Sahel en plus de la situation en Ukraine et au Sahara occidental » soulignant, à cet égard, la position inébranlable de l’Algérie attachée à la légalité internationale et aux résolutions de l’ONU loin de traiter les doubles standards adoptés par certains, en plus de régler les différends par le dialogue et la négociation sans avoir à recourir à des solutions sécuritaires. ou de guerres ».
Par ailleurs, M. Boughali a appelé à « l’intensification des relations bilatérales, notamment après l’adoption de la nouvelle loi sur les investissements qui offre divers avantages au profit des investisseurs nationaux et étrangers », exprimant ses « remerciements ». Au président de la Roumanie pour les facilités accordées aux Algériens revenant d’Ukraine ».
Pour sa part, l’ambassadeur roumain Ain s’est déclaré satisfait du niveau des « relations bilatérales, notamment sur le plan économique », ajoutant que les deux « Algérie- Les groupes d’amitié « roumains » pourraient connaître un nouveau souffle, appelant à la mise à jour des accords bilatéraux.
Sur le plan international, M. Jacota a insisté sur le « recours à des solutions pacifiques aux différends, en particulier la question palestinienne », ajoutant que la solution juste doit être « dans le cadre de la légalité internationale et de la solution à deux États ».
Le diplomate roumain s’est déclaré désireux de stimuler les relations et d’exploiter les capacités des deux pays pour parvenir à les intérêts des deux pays.