Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali, a reçu, mardi, des représentants de l’Association nationale pour la sécurité routière (ANSR), avec qui il a évoqué les accidents de la route et les moyens de lutter contre ce phénomène, selon un communiqué de presse. de l’APN.
A cette occasion, M. Boughali a indiqué que la lutte contre le phénomène des accidents de la route, ou ce qu’il est convenu d’appeler le « terrorisme routier », compte tenu des pertes humaines et matérielles considérables qu’il occasionne, passe par « l’implication de chacun, tant dans termes d’infrastructures, ainsi que la qualité des véhicules et des pièces de rechange », mentionnant « la promulgation de la loi sur l’organisation de la sécurité et de la police de la circulation » qui prévoit des mesures préventives et coercitives.
De son côté, le président de l’ANSR, Ali Chiguen, a mis en garde contre l’augmentation du nombre d’accidents de la route, s’étendant sur l’évolution et les principaux facteurs de ce phénomène.
Soulignant que ce phénomène est lié au degré de sensibilisation, M. Chiguen a évoqué les bords les plus exposés aux accidents de la route, ainsi que les conséquences économiques qui en découlent, faisant une comparaison entre les indicateurs algériens et ceux des autres pays.
Le Président de l’ANSR a présenté, à cette occasion, la vision de son institution quant aux solutions qui doivent être mises en œuvre pour réduire l’impact de ce phénomène, telles que « la numérisation des services compétents dans le secteur des transports et l’introduction des nouvelles technologies en termes de contrôle technique ou de formation, en plus de la mise à jour des textes juridiques et de l’activation du rôle des commissions ad hoc ».
Le Président de la Chambre basse du Parlement a souligné les efforts déployés par les membres de l’ANSR pour sensibiliser l’opinion publique et proposer des solutions, saluant l’action de la société civile qui s’efforce d’ancrer la culture routière dans la société.
M. Boughali a montré la disponibilité de l’APN à « soutenir toutes les initiatives visant à prendre en charge les préoccupations quotidiennes des citoyens, en plus d’impliquer la société civile dans l’examen des textes législatifs les concernant dans le statut degré ». commissions et journées d’études et parlementaires ».