employeurs-syndicats, « s’étend à tous les acteurs entre experts et représentants de la société civile, qui est désormais devenue une part importante de cette équation ».
M. Labatcha a également souligné l’impératif « que toutes les parties s’associent à l’effort de construction d’une Algérie nouvelle et contribuent à la réalisation d’un développement durable », en plus de « la large participation de tous les acteurs concernés en vue de renforcer le dialogue social » .
Pour sa part, le SG du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Akli Berkati, a évoqué « l’expérience pionnière » de l’Algérie en matière d’appui au dialogue social qui est, a-t-il dit, « un modèle au niveau arabe, notamment en le domaine de la recherche de solutions aux problèmes posés dans le monde du travail ces dernières années ».
L’organisation de cet atelier est une « opportunité d’atteindre les objectifs futurs du monde du travail, qui fait face à des défis dus à la pandémie de Covid-19, en plus de l’émergence de plusieurs conflits régionaux », a-t-il estimé.
De son côté, le directeur exécutif du programme « SOLID 2 », Mustapha Tlili, a rappelé le parcours historique et les objectifs pour lesquels la Confédération syndicale internationale (CSI), qui regroupe actuellement plus de 300 syndicats, a été créée en 1949 . centres et antennes dans différents pays du monde, soulignant que la CSI « travaille actuellement pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD) établis dans le programme de l’ONU pour 2030, avec la participation de tous les acteurs ».