Le président du Conseil de la Nation, M. Salah Goudjil a souligné, jeudi, à Alger, que la phase actuelle exige la mobilisation de tous afin de préserver l’Algérie et de faire entendre sa voix.
« Nous devons tous rester mobilisés pour que l’Algérie se tienne debout, se référant à l’histoire comme une référence qui éclaire notre chemin », a déclaré M. Goudjil dans son discours de clôture de la session ordinaire 2021-2022 du Conseil, soulignant la nécessaire mobilisation. . préserver les acquis de l’Algérie dans la reconquête de sa souveraineté nationale et faire entendre sa voix dans les enceintes internationales.
Et d’ajouter : « Notre combat en novembre était pour reconquérir la souveraineté nationale, et aujourd’hui nous nous battons pour la préserver, en faisant entendre la voix de l’Algérie dans les enceintes internationales et en soulignant ses positions et ses principes. en faveur de ce qui est juste ».
« La voie que nous avons choisie pour protéger notre indépendance doit également être soutenue par l’indépendance économique », a-t-il déclaré, soulignant que les évolutions actuelles et futures dans le monde exigent que l’Algérie soit « prête et prête à maintenir son indépendance ».
M. Goudjil a indiqué que la prochaine session parlementaire « aura une activité importante, notamment la révision du code des collectivités territoriales, et ce, dans le cadre de la finalisation de toutes les institutions, en conférant la commune. son rôle est vrai. » « C’est le vrai concept de la nouvelle Algérie. »
Rappelant, à cette occasion, les célébrations du 60e anniversaire de la restauration de la souveraineté nationale et de la dernière édition des Jeux Méditerranéens tenue à Oran et qui ont été « une source de fierté et de gloire » pour les Algériens, M. Goudjil a salué la « les efforts du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour garantir leur succès ».
Le chemin parcouru par le président Tebboune à travers la nouvelle Constitution « consacre la vraie démocratie en Algérie », a-t-il dit, estimant que la pratique de la démocratie « est liée à l’histoire et à la culture du pays ». « Nous sommes sur la bonne voie, aujourd’hui et pour l’avenir. »