Le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des Microentreprises, Nassim Diafat, a insisté, lundi, sur la nécessité de trouver une procédure légale qui résoudrait le problème du nantissement des équipements de manière à permettre aux porteurs de projets obligés de payer toutes les redevances. de s’en débarrasser, et donc de relancer leurs projets ou de modifier leur activité économique, selon un communiqué du ministère délégué.
Le ministre s’est exprimé lors d’une réunion de travail avec les directeurs généraux des banques publiques et des représentants de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers (ABEF), afin de « simplifier et faciliter les financements accordés aux porteurs de projets », a-t-on précisé dès le même provenance.
La rencontre, à laquelle ont pris part le directeur général par intérim de l’Agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat (ANADE), Mohamed Cherif Bouziane, ainsi que des directeurs du ministère et du Fonds national de garantie des crédits aux PME (FGAR), visant « plusieurs points liés aux projets et activités économiques, ainsi qu’aux préoccupations des bénéficiaires des financements de l’ANADE, notamment la levée du nantissement des équipements, tous types en un seul lieu, dont les propriétaires se sont engagés à payer tous les frais financiers aux banques. et à l’ANADE ».
Au cours de cette rencontre, le ministre a souligné « la nécessité de trouver une procédure judiciaire capable de traiter la question du nantissement des équipements qui leur permettrait de s’en débarrasser et donc de relancer leurs projets ou de changer la nature de leur activité économique ». . « .
La rencontre a également permis de » discuter des nouvelles mesures lancées en partenariat avec l’ABEF, notamment dans le domaine du financement participatif « , conclut la même source.