La ministre de l’Environnement, Samia Moualfi, a annoncé jeudi à Alger que 488 plages ont été autorisées à la baignade cet été dans diverses régions du pays, dont 62 plages dans la capitale, ajoutant que son département les nettoiera régulièrement par la voie civile. société.
Lors d’une intervention lors d’une réunion d’évaluation des préparatifs et des activités de la saison estivale avec les directeurs de l’environnement des 14 wilayas côtières, Mme Moualfi a souligné la nécessité d’intensifier les activités de terrain, notamment la sensibilisation, la formation et l’orientation, ainsi que les associations environnementales et des clubs pour un environnement et des plages propres, d’autant plus que l’Algérie, a-t-elle dit, accueillera la 19e édition des Jeux méditerranéens la semaine prochaine à Oran.
« Il est de notre devoir de donner la meilleure image de notre pays », a-t-elle déclaré, ajoutant que son département assurera le succès de cette saison estivale et offrira les meilleures conditions de vie aux visiteurs et touristes qui ont choisi l’Algérie. .
Après avoir confirmé que l’eau des plages autorisées à la baignade a été analysée, le ministre a annoncé une campagne d’étude et d’évaluation de la qualité et de la santé des zones marines du littoral algérien.
En plus des plages, d’autres lieux de villégiature exceptionnels (montagnes, lacs, rivières, etc.) seront mis en valeur cet été, a-t-elle ajouté.
Pour rappel, le littoral algérien s’étend sur 1.622 km répartis en 14 wilayas de Oued Kis à Tlemcen (Ouest) à Oued Souani Sbaa à El-Taref (Est), soit 618 plages.
A cet égard, Mme Moualfi a indiqué que, malgré les efforts déployés par le secteur, l’écosystème était toujours menacé par les activités humaines, c’est pourquoi le secteur travaille à unir ses efforts avec ceux des autres usagers de la mer tels que les touristes, les pêcheurs , clubs nautiques et associations afin de préserver cet environnement à la fois riche et fragile.
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Elle a également appelé les directeurs de l’environnement de toutes les wilayele à prioriser ces préoccupations (notamment la gestion des ordures ménagères) en coordination avec les autorités locales pour l’hygiène environnementale.