Boumediene (1972-1974), le gymnase du Centre Olympique d’Alger (Coupole du Complexe Olympique Mohamed-Boudiaf) et l’Ecole Polytechnique d’Architecture et d’Urbanisme (EPAU).
Pour la commissaire de l’exposition, Rahiche Abdelhamid, le travail d’Oscar Niemeyer en Algérie est certes « peu connu », mais l’université Mentouri de Constantine reste l’une de ses « réalisations les plus emblématiques » hors du Brésil.
Il (Université de Constantine). ) se compose, explique M. Rahiche, de plusieurs bâtiments regroupés autour d’une place, tandis que l’auditorium est surmonté d’un voile de béton, composé de « deux ailes qui semblent suspendues » .
Université Bab-Ezzouar dans la périphérie d’Alger . elle, quant à elle, se compose de dizaines de bâtiments anguleux et courbes, selon le commissaire, qui rappelle que Niemeyer avait une « grande affection » pour l’Algérie.
Dans son discours, l’ambassadeur de la République du Brésil en Algérie, Flavio Marega, s’est félicité de l’organisation de cette exposition sur l’œuvre d’Oscar Niemeyer, un projet commencé il y a deux ans.
Le photographe Jason Oddy s’est rendu en Algérie en 2013 pour enquêter sur ce remarquable héros de l’architecture moderniste. Ses photographies du travail d’Oscar Niemeyer ont fait le tour de plusieurs galeries à travers le monde.
Organisée par le Ministère de la Culture et des Arts en partenariat avec l’Ambassade du Brésil en Algérie, l’exposition « Oscar Niemeyer, l’Algérie et l’Architecture de la Révolution » est à voir jusqu’au 5 juillet.