Le président du Conseil national des droits de l’homme, Abdelmadjid Zaalani, a affirmé lundi à Alger le souci de l’Algérie d’instaurer les principes de coexistence et des droits de l’homme.
« Désireux d’établir les principes de la coexistence pacifique et des droits de l’homme, l’Algérie est un État de paix », a déclaré M. Zaalani dans un discours liminaire à l’ouverture d’une rencontre nationale intitulée « La dimension humanitaire de la résistance algérienne ». : de l’éthique de l’émir Abdelkader à l’action humanitaire pendant la guerre de libération ».
« Initiée par l’Algérie, l’institution du 16 mai comme Journée mondiale de la coexistence ensemble dans la paix reflète les positions et coutumes que l’Algérie a maintenues tout au long de son histoire, ainsi que des principes et valeurs nobles, dont la non-ingérence dans les affaires », a-t-il poursuivi. « A cette occasion, le Président du Conseil de la Nation, Salah Goudjil, a affirmé dans un discours lu en son nom le droit des peuples à l’autodétermination et la promotion d’une culture de paix et de réconciliation. »
la dignité humaine », dit le Président de la Chambre haute du Parlement.
Et rappelons que le fondateur de la Dans le cas de l’émir Abdelkader, c’était un symbole de la résistance nationale à l’intérieur du pays, ainsi que de l’exil forcé. Des générations de résistants, moudjahidines et chouhadas ont suivi les traces de l’émir.
Pour sa part, le ministre des Moudjahidines et des Bénéficiaires, Laïd Rebiga, a déclaré dans son discours que « les livres de la guerre de libération nationale, chapeautés par la proclamation du 1er novembre 1954, prévoyaient l’universalité des principes de notre lutte de libération et nos valeurs humaines. Ils resteront un symbole de l’autodétermination des pays qui croupissent encore sous le joug colonial. »
L’organisation de cette rencontre » est porteuse d’une symbolique particulière, en ce sens qu’elle évoque les pages de l’histoire algérienne dans toutes ses dimensions jusqu’à passé doit être développé comme une voie à suivre pour tracer les contours et les épopées de la nouvelle Algérie, dont la place sur la scène internationale s’est consolidée dans les domaines de l’action humanitaire, toutes formes confondues », a-t-il dit. Elle est riche en événements et en symboles, dont le chef de la résistance populaire, le fondateur de l’État algérien moderne et avant-gardiste dans le domaine des droits de l’homme : l’émir Abdelkader, cet homme éclairé qui s’est démarqué par sa résilience, sa pensée ou encore sa philosophie et sa diplomatie. par ses valeurs pour forger l’esprit de résistance qui s’est poursuivi sous diverses formes, couronné ensuite par la guerre de libération nationale, liberté et indépendance », a déclaré M. Rebiga.
La rencontre a été rehaussée par la présence du Conseiller du Président de la République, chargé des organisations et organisations non gouvernementales nationales et internationales, Hamid Lounaouci, de la Déléguée nationale à la protection de l’enfance, Meriem Chorfi, et de représentants de divers secteurs et corps.