Ambrosetti a été rejoint par le président de la République, Sergio Mattarella, le président de la Chambre des députés, Roberto Fico, ainsi que le Premier ministre, Mario Draghi, et de nombreux ministres du gouvernement italien, ainsi que de nombreux décideurs dans le monde politique, l’économie internationale et le milieu universitaire.
Le forum a permis des échanges « interactifs » sur les voies et moyens de développer des actions concrètes pour la mise en place d’une plate-forme stratégique méditerranéenne pour le sud de l’Italie et l’Europe, précise le communiqué.
Au cours de cette rencontre, M. Arkab a souligné « le rôle clé du secteur énergétique et minier comme moteur du développement économique et l’importance de la coopération dans le secteur des hydrocarbures dans la région », tout en indiquant que le secteur énergétique et minier est un « secteur de l’investissement ouvert « . un cadre juridique stimulant et offre de nombreuses opportunités de partenariat dans de nombreux domaines, note la même source. Il a également souligné « les nombreux efforts déployés par l’Algérie pour renforcer les capacités tout au long de la chaîne des hydrocarbures à travers des investissements importants qui s’inscrivent dans une démarche visant à renforcer le rôle de l’Algérie en tant que fournisseur fiable d’approvisionnement sécurisé. Et cela continue », a indiqué le ministère. ajoutée.
Il a exprimé « l’engagement de l’Algérie pour une transition énergétique progressive » en diversifiant les sources d’énergie importantes existantes et en intégrant les énergies bas carbone dans le mix énergétique, telles que les énergies renouvelables et l’hydrogène, et qu’une stratégie nationale de développement de ce secteur est en cours de finalisation .
Le ministre a également souligné la « nécessité de renforcer les liens énergétiques entre les pays des deux rives de la Méditerranée afin de répondre aux défis communs de l’urgence climatique, qui créeront de nouvelles opportunités économiques et commerciales, de nouvelles richesses et de nouveaux emplois. « .
De plus, pour relever ces défis, il est nécessaire de prendre en compte les « différences » en termes de priorités nationales, mais aussi en termes de capacité financière et de développement entre les pays du sud et du nord de la Méditerranée dans le but est de parvenir à une transition « juste et équitable » grâce à un mix énergétique diversifié utilisant toutes les sources d’énergie disponibles et complémentaire de certaines, conclut le communiqué.