Une délégation de l’Union parlementaire des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (UPCI) s’est rendue lundi à la mosquée d’Alger, où elle a visité les différentes structures architecturales de cet édifice religieux et touristique, reflet de son identité algérienne, de son authenticité et de son caractère islamique. culture.
Cette visite, effectuée dans le cadre des travaux de la 47ème réunion du Comité de l’UPCI, a été l’occasion pour les membres de la délégation de visiter les différents espaces et structures de la Mosquée d’Alger où ils ont suivi des explications sur la gestion des cet édifice et son rôle de sensibilisation à la modération en donnant une image réelle de l’islam.
En visitant la salle de prière où ils ont reçu des explications sur la capacité de la salle, la délégation a exprimé son appréciation pour l’architecture et la capacité de l’espace qui peut contenir jusqu’à 120.000 fidèles à côté du minaret dont la hauteur est de 265 mètres. Ils ont également visité le centre culturel de la mosquée, la maison du Coran, la bibliothèque, les pôles informatiques et autres structures.
A cette occasion, le président de la commission sociale du Conseil d’Etat du Sultanat d’Oman, Ahmed ben Ali ben Abdellah al-Amri, a déclaré que cette mosquée « se distingue par ses détails avec une symbolique particulière », ajoutant qu’elle est un bâtiment luxueux et un joyau architectural qui reflète une créativité inégalée dont nous, en tant que monde musulman, sommes fiers.
Le député libanais Kacem Hachem a décrit la mosquée d’Alger comme un « chef-d’œuvre culturel » qui représente « un lien entre l’authenticité et la modernité ».
L’eurodéputé malaisien Shams Iskander Mohd Akin a fait l’éloge de « ce bâtiment architectural religieux qui est une source de fierté pour les musulmans du monde entier ».
De son côté, le député ivoirien, Toni Mimouna, n’a pas manqué d’exprimer son admiration pour la mosquée d’Alger. Mohmaed Hafiz du Secrétariat général de l’UPCI a déclaré que la visite était un « grand honneur », ajoutant que la mosquée était « le lieu et l’authenticité de l’Algérie, ainsi que son héritage ancien ».