Le ministre des Moudjahidines et des Bénéficiaires, Laïd Rebiga, a insisté samedi à Alger sur la nécessité de poursuivre le travail de « documentation et d’écriture de l’histoire de la Révolution de libération » afin de la transmettre aux générations futures.
Dans un discours lu en son nom par le directeur du Centre national d’études et de recherches sur le mouvement national et la révolution du 1er novembre 1954 (CNERMN54), Djamel Eddine Miadi, lors d’une cérémonie de commémoration de la chouhada de mars, sous « Mes frères n’oublient pas Chouhada », le ministre moudjahidine a exhorté les enfants algériens à mettre en pratique les exploits héroïques des martyrs comme un « modèle convaincant qui renforce leur sentiment de fierté, un modèle pour les adeptes pour relever les défis ». Les générations émergentes doivent tirer les leçons nécessaires des sacrifices de Chouhada « pour renforcer l’unité et la cohésion sociale » du pays, a-t-il dit, soulignant l’importance de « documenter et écrire notre histoire glorieuse afin de la transmettre aux jeunes générations ».
March « est l’occasion de commémorer les exploits des braves chouhada, héros de l’Algérie et dirigeants de la Glorieuse Révolution de Libération Nationale dont le sang a arrosé la terre bénie et qui ont écrit leur histoire en lettres d’or. , étant les artisans de ses épopées héroïques riches en sacrifices », a-t-il soutenu.
Le ministre a également affirmé que ces glorieux souvenirs que nous commémorons à chaque occasion « restent immortels dans notre histoire héroïque », ajoutant en ce sens que dans quelques jours, l’Algérie célébrera le 60e anniversaire de Victoria, correspondant au mois de mars. 19 », sous le slogan « détermination et victoire ».
Le Jour de la Victoire est « le fruit de l’effort sacré du peuple algérien contre les forces perverses de l’oppression, en ce sens qu’il a forcé le colonisateur à s’asseoir autour de la table des négociations pour reconnaître le droit du peuple algérien à la liberté et au droit au rétablissement. la pleine souveraineté de l’Algérie, après la signature des accords d’Evian ».