Seddik Benyahia, Lakhdar Bentobal, Taïeb Boulahrouf, M’hamed Yazid et les autres négociateurs des Accords d’Evian, imprégnés des principes de ce Mouvement, ont compris le sens de l’indépendance et de la souveraineté nationales, la cohésion entre le peuple algérien et la construction d’un L’État algérien dans les principes de l’islam.
Pour cet universitaire, « l’intransigeance du négociateur algérien en matière de souveraineté nationale et d’intégrité territoriale, lors des accords d’Evian était le cheminement naturel des hommes amoureux du pays. La force de l’ALN sur le terrain, l’autre facteur de discernement
Le Dr Libération Nationale (ALN) a été un « facteur déterminant » dans l’issue des négociations entre la Délégation du Gouvernement Provisoire Algérien (GPRA) et le Gouvernement français.
« Depuis le déclenchement de la guerre de libération le 1er novembre 1954, la France coloniale a tenté de présenter la Révolution algérienne comme une affaire intérieure, une affaire de retour dommages sociaux, mais la force de l’ALN et les échecs des forces coloniales sur le terrain ont renforcé l’action algérienne. négociateurs », a-t-il déclaré.
Et de poursuivre : « La France coloniale, qui s’est battue pour garder l’Algérie, ne s’était résignée à s’asseoir autour de la table des négociations qu’après avoir épuisé toutes les manœuvres pour déstabiliser la partie algérienne.
Le Dr Ben Zerda affirme que « la signature des Accords d’Evian, fruit d’âpres négociations et la fin de 132 ans de colonialisme français, a consacré l’unité du peuple et du sol et l’indépendance totale de l’Algérie, selon la principes de la Déclaration du 1er novembre 1954 ».