La représentante, résidente permanente du Programme des Nations unies pour le développement en Algérie (PNUD), Blerta Aliko, a salué lundi, à Alger, le partenariat avec le ministère de la Culture et des Arts autour du projet de conservation et de mise en valeur du patrimoine culturel national de la parcs exceptionnels et extraordinaires ».
Le représentant du PNUD a considéré le soutien au projet de conservation et de développement des parcs nationaux vieux de sept ans comme un « privilège pour le PNUD », soulignant que ce projet vise à « promouvoir le patrimoine national et mondial », et que la responsabilité de ce partenariat était « partagée ». « , car le programme a réuni des experts du ministère de la Culture et des Arts et d’autres au niveau local pour « élaborer des protocoles de protection visant à accroître l’ensemble du patrimoine et du patrimoine ». de ces territoires et favorisant l’intégration de l’humanité à la nature ».
Mme Blerta Aliko a rappelé que ce programme « a pu non seulement soutenir la protection des parcs, mais aussi préserver la biodiversité et la richesse des traditions de ces territoires », ainsi que « développer et accroître les capacités qui ont permis ces parcs soient dotés d’un personnel bien équipé et hautement qualifié « conformément aux normes internationales », en plus de « faciliter l’échange d’expérience et d’expertise à l’échelle mondiale ».
Aliko a conclu en déclarant que son travail était une coopération « multisectorielle » dans ce contexte avec le ministère du Tourisme, ainsi qu’avec le monde associatif, pour, a-t-elle ajouté, « promouvoir l’économie et soutenir le développement social et solidaire au niveau local », ainsi que ces parcs pour la conservation du patrimoine national et mondial richesse « .
Lancement de la mise en œuvre du projet (d’importance mondiale) pour la conservation de la biodiversité et l’utilisation durable des services écosystémiques dans les parcs culturels algériens (projets de parcs culturels algériens), supervisé par le ministère de la Culture et des Arts, en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour le développement et le Fonds du programme pour l’environnement mondial, a débuté en 2014 et se terminera en avril de l’année prochaine.
Ce projet intervient dans cinq parcs culturels nationaux, « Tassili n’Ajjer », « L’Ahggar », « Touat Guerara Tidikult » et « Atlas Saharien » et « Parc Culturel de Tindouf », répartis sur une superficie d’un million kilomètres carrés.
Ces parcs ont été créés pour préserver le patrimoine culturel et naturel de ces régions. Ils sont gérés par des offices nationaux dont la mission principale est la conservation, la protection et la mise en valeur de ces biens, d’où l’importance de soutenir ce projet par des mécanismes concrets pour assurer une plus grande responsabilité vis-à-vis de la diversité biologique et du patrimoine culturel.