ajouta-t-il, et il en fut ainsi en 1960, avec quatre essais nucléaires atmosphériques.
La première explosion a eu lieu le 13 février 1960, sous le nom de « gerboise bleue », la seconde, dite « gerboise blanche » le 1er avril 1960, la 3e « gerboise rouge » le 27 décembre 1960. et La 4e explosion, appelé le « Green Jumbo », le 25 avril 1961.
A son tour, le Dr Gharib Sahraoui, un responsable du Département des affaires religieuses, interpelle les physiciens et chercheurs algériens (sur le plan scientifique) sur les conséquences de ces explosions », et par étudier cette région en détail pour découvrir plus de précipitations d’explosions nucléaires, afin de forcer la France coloniale à les reconnaître et à s’excuser, a-t-il ajouté. De son côté, le militant de l’association et l’une des figures de proue de la région, Cheikh El Hamel Si Omar, a insisté sur l’impératif que la France reconnaisse ses crimes nucléaires, louant les efforts de l’Armée nationale populaire (ANP) pour nettoyer les essais. lieux contaminés par des radiations nucléaires.
Il a également appelé à l’inscription de ces événements (explosions nucléaires à Reggane) dans le programme scolaire, afin que les générations futures « n’oublient pas la grandeur et les sacrifices des martyrs et des moudjahidines de la Révolution en face sous le joug colonial. »
A noter que cette manifestation, sous le slogan « Un peuple qui refuse d’oublier les crimes coloniaux de Reggane », se poursuivra pendant trois jours, avec un programme de conférences et d’expositions photos qui mettent en lumière la laideur de ce drame, selon au président de l’association Bendjelloul, Boualem El Hadj.
Cet événement historique vise également à renforcer les liens de fraternité entre les citoyens du Nord et du Sud en rapportant les inquiétudes des populations et en leur témoignant leur solidarité à travers une caravane de solidarité pour se rendre à Reggane à la veille du Ramadan, a déclaré M. Boualem El Hadj.