Le bureau régional de l’Université nationale de l’éducation du Maroc a dénoncé de fausses accusations fabriquées et des accusations malveillantes contre des militants de la corruption, ainsi que l’exploitation de la justice pour régler des comptes, exigeant la libération de tous les prisonniers d’opinion.
Dans un communiqué, la direction régionale de Sousse-Massa a déclaré : situation et poursuite d’intérêts personnels ».
L’agence a également évoqué les actes de répression subis par les militants universitaires, notamment à Al-Hoceima, Marrakech et Khenifra, qualifiant la situation et ciblant les militants de « honteuse pour l’Etat marocain », qui « affecte gravement le travail responsable ». du syndicat ».
Il a également vu la politique d’accusations contre les militants comme un « échec » qui ne ferait qu’augmenter leur « subsistance et leur lutte », notant que cette politique est « une cible de l’université connue pour ses positions et ses principes dans de nombreuses questions concernant la classe ouvrière éducative et le peuple marocain ».
Par ailleurs, le bureau régional a exprimé dans son communiqué une « solidarité absolue » avec les victimes de poursuites malveillantes, dénonçant l’usage de la justice pour régler des comptes politiques ou syndicaux. A cet effet, il a appelé à l’ouverture de « vraies affaires de corruption » et également à « la poursuite des personnes impliquées » dans ces affaires.
Enfin, le bureau régional a appelé à « la libération de tous les prisonniers d’opinion et du mouvement populaire Hirak », réitérant son appel à la lutte contre « diverses formes de corruption, d’injustice et de tyrannie », selon le communiqué. .