Les Nations Unies ont lancé mardi à Genève un mémorandum décrivant les violations des droits humains et les abus commis par les autorités marocaines dans les territoires sahariens occupés.
Le mémorandum envoyé au gouvernement marocain le 10 juin, avant d’être publié sur le site des Nations Unies, appelle les autorités marocaines à s’en prendre aux journalistes et militants des droits humains au Sahara Occidental occupé.
Le rapport parle des « agressions physiques et sexuelles, du harcèlement, des menaces et des rafles que les journalistes et défenseurs des droits humains défendent le droit à l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental et les membres de l’ISACOM (tribunal sahraoui contre les Marocains) d’occupation) ont souffert depuis novembre 2020 et qui se sont considérablement intensifiés depuis lors ».
« Nous exprimons notre plus profonde préoccupation concernant les informations rapportées sur des actes de harcèlement, d’agressions physiques et sexuelles et d’actes d’intimidation et de menaces de mort contre Mme Sultana Khaya, Luara Khaya, Mina Baali, Salha Boutanguiza, M. Lahcen Dalil, M. Hassanna Abba, Dl Laaroussi Lafqir, MM`birkatte Abdelkatta, dna Mina Baali, dl Salha Boutanguiza, dl Lahcen Dalil, dl Hassanna Abba, dl Laaroussi Lafqir, MM`birkatte Abdelkrim, dl Essalek Baber, dl Khalid Boufrayoui, dl Elfragh Djali M. Hmad Hamad », explique le document.
« Nous restons gravement préoccupés par la présence continue d’agents de sécurité devant la maison de Mme Sultana Khaya en novembre 2020, ainsi que par les restrictions sévères à sa liberté de mouvement résultant de cette présence et de l’impact sur son intégrité physique et psychologique » , y compris la menace « La nature systématique et calculée de cette tactique est particulièrement préoccupante, car elle semble être un effort concerté pour intimider et décourager les défenseurs des droits humains sahraouis d’exercer leurs droits. » la liberté d’expression et d’association et semble avoir été exécutés en représailles à leurs activités pacifiques et légitimes en faveur des droits humains », poursuit la même source. Les auteurs de la note extrajudiciaire, sommaire ou arbitraire, le rapporteur spécial pour la promo et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression, le Rapporteur sur le droit de réunion pacifique et la liberté d’association, le Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, le Rapporteur spécial sur la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants ou et le Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles.